Accueil - Elodie Imbert – Artiste Photographe

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ARTISTE PHOTOGRAPHE DE NATURE

« Il semble qu’en s’élevant au-dessus du séjour des hommes, on y laisse tous les sentiments bas et terrestres, et qu’à mesure qu’on approche des régions éthérées, l’âme contracte quelque chose de leur inaltérable pureté. On y est grave sans mélancolie, paisible sans indolence, content d’être et de penser.»

Rousseau, La Nouvelle Héloïse

Conjuguer

romantisme,

philosophie et

photographie

C’est l’automne qui m’a accueillie en ce monde un jour de novembre quatre-vingt-quinze. Peut-être est-ce la raison pour laquelle j’ai toujours été sensible à ce moment de l’année, propice à la réflexion et à la contemplation. Cette saison a bien cela de particulier, qu’elle permet d’observer le mouvement symptomatique d’une nature éprouvée, tirant sa révérence éphémère pour les longs mois d’hiver. Je me plais à considérer qu’il faut agir ainsi, par un mouvement d’effacement incessant, afin de mieux comprendre notre rapport au monde.

Une oeuvre d’art chez vous

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21/03/23 : Refonte complète du site internet en cours sur les prochains mois …
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Actualités & Événements

Autant je suis profondément attirée par les pays

L’automne, toujours l’automne, une valse d’i

Le vautour fauve au plumage ocre, voilà un bien étrange comportement que j'ai pu documenter durant plusieurs saisons des amours. A première vue, je pensais qu'il s'agissait d'un jeune. Mais la collerette claire propre aux adultes est bien présente et si l'on regarde attentivement les rémiges et autres plumes du dos, on se rend compte que l'ensemble de son plumage semble enduit de cette "rouille". Je sais qu'il s'agit d'un comportement tout à fait normal chez les gypaètes barbu, dont le plumage est blanc et noir à l'origine. Ce n'est qu'à l'occasion de bains d'oxyde de fer qu'il prend la coloration dorée qu'on lui connaît si bien. Cela a d'ailleurs donné lieu à une étude scientifique sur le sujet pour en connaître les raisons ; s'il s'agissait plutôt d'un comportement cosmétique ou une réponse à des besoins physiologiques. La communauté scientifique n'est pas unanime sur le sujet. Je n'ai pas réussi à trouvé de document attestant d'observations similaires chez les fauves. Peut-être auriez vous des éclairages sur le sujet ? Cela pourrait en tout cas faire penser à un usage cosmétique puisqu'observé pendant la période de reproduction. Mais je n'ai pas suffisamment observé l'espèce pour le savoir. Je serais en tout cas ravie de voir vos réponses et témoignages là-dessus ! @maisondesvautours
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Alors que le rut bat son plein, un bruit sourd dé

L’autre jour, je regardais un film d’animation

— Événements —

Publication dans le dernier numéro de TERRE SAUVAGE d’Avril 2023 sur le reportage réalisé en 2022 grâce au concours de la Bourse Iris : « Lumières en cascades »
Plusieurs expositions à venir sur l’année 2023, restez connectés 🙂